Jérôme Bosch : à gauche et à droite, détails du Dernier Jugement, au centre, détail du Jardin des Délices
S’il y a bien un type de créatures qui vient à l’esprit lorsque l’on pense à l’univers de Jérôme Bosch, ce sont ces chimères, ces monstres, mi-humains, mi-animaux - oiseaux, batraciens, reptiles. Ces "représentations de figures monstrueuses construites à partir de gravures de bestiaires du Moyen-âge, ponctuent son oeuvre dans des paysages chaotiques" (Le monde des arts)
Symboles de vices, de péchés, tortionnaires dans ses mondes infernaux, ils représentent pour le peintre une part de l’humanité, non pas "telle qu'elle apparait vue du dehors, mais telle qu'elle est dedans, à l'intérieur" (Père José de Sigüenza, XVIIe siècle).
Pour l’exposition « d’Inspiration Jérôme Bosch », Nelleke de Noo, le duo Papier à êtres, et Sylvain Bossut ont chacun donné leur propre interprétation de ces chimères, tantôt inquiétante, tantôt énigmatique.
De gauche à droite : Nelleke de Noo, Papier à êtres, Sylvain Bossut
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Vous pouvez bien sûr retrouver ces chimères dans l’exposition en ligne "d'inspiration Jérôme Bosch",
qui présente des œuvres d'art, des pièces d'artisans-créateurs et de
petites entreprises inspirés par l'univers du peintre.
L'exposition en ligne durera jusqu'au 31décembre 2016, fin de l'année Jérôme Bosch -500 ans de la mort de l'artiste- en parallèle et indépendamment de l’exposition présentant les peintures et dessins de l'artiste qui fut présentée à Bois-le-Duc aux Pays Bas puis au musée du Prado à Madrid actuellement.
L'exposition en ligne durera jusqu'au 31décembre 2016, fin de l'année Jérôme Bosch -500 ans de la mort de l'artiste- en parallèle et indépendamment de l’exposition présentant les peintures et dessins de l'artiste qui fut présentée à Bois-le-Duc aux Pays Bas puis au musée du Prado à Madrid actuellement.
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